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Chères lectrices, chers lecteurs,
La foodtech La Belle Vie, spécialisée dans les produits frais, bio, artisanaux, mais aussi dans l’épicerie fine, vient d’annoncer une levée de fonds de l’ordre de 5,5 millions d’euros auprès de business angels, de l’accélérateur ShakeUp-Factory et du fonds Kima Ventures. Avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 3 millions d’euros en 2017, elle compte se développer en France, mais aussi à l’international.
Le succès en 2 ans d’existence
Se positionnant sur un segment ou Amazon tente de dominer le marché, la start-up La Belle Vie continue sa croissance, après sa création en 2016 par Alban Wienkoop et Paul Lê. 6J/7 et de 8 à 21h, la start-up livre plus de 4500 produits fait maison. Elle promet une livraison en 1H à Paris, 1h30 en petite couronne, et 3H en île de France.
Les produits franis sont achetés au marché de Rungis chaque matin, et les légumes frais arrivent directement dans ses locaux.
Alban Wienkoop déclare concernant son concept:
“Venant de la tech tous les deux, développer notre propre système informatique était une composante essentielle pour augmenter nos chances de réussite. Aujourd’hui le défi est relevé puisque nous avons besoin de beaucoup moins de main d’oeuvre que nos concurrents mais également une agilité qui nous permet d’améliorer continuellement notre qualité de service, et, en même temps, notre marge.”
Avec un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros en 2017, le succès est donc au rendez-vous, puisque la start-up a déjà atteint sa rentabilité. Grâce à cette nouvelle levée de fonds, elle compte continuer son développement en France, et à l’international, avec en autre une implantation à Londres.
Accessible depuis desktop et via une application mobile, la belle vie mise avant tout sur la qualité des produits, avec laquelle elle compte séduire ses clients.
Paul Lê ajoute sur ce point:
« Commander en quelques clics un plateau de fromages à tomber, une côte de bœuf d’un excellent boucher, des crudités prédécoupées, un guacamole maison et tout recevoir dans l’heure, tel est notre pari tenu »
Avis, donc, aux amateurs.
Yvan Dupuy